Journée des Maladies Rares oblige, il était presque obligatoire qu’à cette occasion soit évoquée la situation ahurissante et illégale dans laquelle se trouve Camille cette année, privée depuis septembre de scolarisation, rééducations et socialisation suite à une décision de la MDPH de notre département.
C’est désormais chose faite avec un article publié le 1er mars dans La Nouvelle République :