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Article Libé

Excellent article de Marie Piquemal !
Tout y est, il ne manque rien.

Centres pour handicapés : où sont les places promises ?

ENQUÊTE

Libération est parti à la recherche des places ouvertes dans les établissements pour personnes handicapées… Sans les trouver.

Où sont les places créées chaque année dans les établissements pour personnes handicapées ? La secrétaire d’Etat Ségolène Neuville répète en boucle que 4 000 places sortent de terre tous les ans. «Encore 3 761 ont été ouvertes en 2013», assurait-elle à Libération, en mai dernier.

«Pas possible, c’est du bluff», doutent des familles épuisées d’attendre une place qui n’arrive pas. «Si la ministre dit vrai, alors comment expliquer ces listes d’attente qui s’allongent et ces personnes forcées de s’exiler en Belgique ?» La France dépense chaque année 36 milliards pour la politique du handicap, dont 9 milliards d’euros servent à faire tourner les 17 000 établissements existants.

Et 200 millions sont rajoutés depuis plusieurs années pour ou…

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//www.liberation.fr/societe/2014/09/29/etablissements-pour-handicapes-ou-sont-les-places-promises_1108120

Le cas d’un ado autiste exclu de son collège

Mon fils autiste a été expulsé du collège : une injustice que j’ai choisi de filmer

T., jeune autiste de 15 ans, n’a pas pu intégrer son collège à la rentrée. On lui en a refusé l’accès. Depuis 2011, sa mère, Maryna Zholud, se bat contre la décision de la Maison départementale des personnes handicapées de le placer en Institut médico-éducatif. Pour elle, cette orientation a du mal à passer.

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//leplus.nouvelobs.com/contribution/1239482-video-mon-fils-autiste-a-ete-expulse-du-college-une-injustice-que-j-ai-choisi-de-filmer.html#reagir

Handicap.fr : Médico-social et école : ont-ils à craindre l’un de l’autre

résumé : 70 000 enfants handicapés scolarisés hors de l’école ordinaire. Quelle prise en charge peuvent-ils espérer ? La défiance manifeste entre le médico-social et l’Education nationale ne compromet-elle pas l’idée d’une école réellement inclusive ?

Par le
Lire les réactions et réagissez !

En 2012, dans le 1er degré,  61 111 élèves handicapés sont scolarisés en établissements médico-sociaux et 5 500 à l’hôpital. L’école totalement inclusive n’étant pas totalement entrée dans les mœurs, pour de nombreux enfants handicapés, la scolarisation au sein des établissements médico-sociaux reste une alternative indispensable. Une école « dans les murs » qui n’est pas gérée par l’Education nationale mais qui accueille tout de même ses enseignants. Il existe trois dispositifs dans ce sens : l’affectation d’enseignants dans les établissements médico-sociaux, les Unités d’enseignement (UE) (l’enseignant spécialisé va avec son groupe d’élèves au sein de l’école) et la scolarisation temps partagé entre école et établissement.

En chiens de faïence

Dans ces conditions, quels liens, quelles complémentarités, quelles coopérations, quelles interactions peut-on espérer de ces deux univers qui n’ont guère l’habitude de se côtoyer ? C’était le thème de l’une des tables rondes  du colloque « Pour que l’inclusion fasse école », organisé le 27 mai 2014 par le SNUipp, syndicat d’enseignants. En effet, cette coopération entre les établissements du médico-social et l’école existe sur le papier depuis le décret de 2009 mais semble parfois relever du vœu pieux. Chaque partie se regarde en chiens de faïence, redoutant d’être mangée par l’autre. Mais qu’ont-elles à craindre ?

Handicap mental, parent « très pauvre »

Jean-Louis Garcia, président de l’Apajh (association tous handicaps), dit se bagarrer depuis 2008 pour signer une convention entre l’Education nationale et son association, pourtant créée en son temps (1962) par des enseignants. Et regrette que ces deux mondes soient aussi « compartimentés ».  » Il est vrai, poursuit-il, que les enseignants des écoles ont une mauvaise connaissance du fonctionnement de nos établissements et du public qui peut y être accueilli. » Même son de cloche du côté de Christel Prado, présidente de l’Unapei. La première association française de personnes handicapées mentales a attendu 54 ans qu’un ministre (en l’occurrence Vincent Peillon en 2013) daigne se déplacer sur un colloque organisé sur le thème de la scolarité. Dans certains IME, on ne compte parfois qu’un enseignant pour 90 enfants. Handicap mental, parent très pauvre de l’école ?

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//informations.handicap.fr/art-ecole-medico-social-24-6916.php

 

Rentrée 2014

Rentrée 2014 : quoi de neuf pour les élèves handicapés ?

Que du neuf à la rentrée ! Les trois quarts des écoles qui n’avaient pas encore adopté les nouveaux rythmes vont devoir renouer avec les 4,5 jours travaillés. Mais c’est aussi le début de la refonte des ZEP et l’arrivée des premiers enseignants à nouveau formés. Et puis une nouvelle ministre, Najat Vallaud-Belkacem, qui reprend le court flambeau de Benoit Hamon (à peine 5 mois à la tête de la « maison »). Mais qu’en est-il dans ce flot de réformes de la situation des élèves handicapés ? Assistera-t-on, comme chaque année, à une déferlante de bugs, avec, en duo de tête : pas d’AVS, pas de places ?

Recrutement d’AESH

En 2013-2014, 239 160 enfants en situation de handicap ont été scolarisés dans les écoles et établissements (publics et privés) relevant du ministère de l’Éducation nationale : 141 565 dans le premier degré et 97 595 dans le second. Pour les aider dans leur quotidien,

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//informations.handicap.fr/art-scolarite-rentree-rythme-24-7141.php

Rentrée 2014 : les nouveaux dispositifs handicap

La rénovation des Clis et des Ulis

Les Clis (classes pour l’inclusion scolaire) permettant l’accueil dans une école primaire ordinaire d’un petit groupe d’enfants présentant le même type de handicap- et les Ulis -unités localisées pour l’inclusion scolaire permettant l’accueil dans un collège, un lycée d’enseignement général et technologique ou un lycée professionnel d’un petit groupe d’élèves présentant le même type de handicap- sont conçus comme des dispositifs d’appui. Les élèves bénéficiant d’une Ulis auront, autant qu’il est possible, des temps d’inclusion au sein des classes ordinaires. Une circulaire présentant le nouveau fonctionnement des Ulis est prévue, pour une publication avant la fin de l’année 2014. En 2013, 46 783 élèves étaient scolarisés en Ulis (35 395 en 2006) et 29122 en Clis (8567 en 2006).

Les unités d’enseignement

À chaque fois que c’est profitable aux élèves, les unités d’enseignement seront implantées dans les établissements scolaires plutôt que dans les établissements médicaux-sociaux. À la rentrée 2014, trente unités d’enseignement à destination des élèves autistes seront ouvertes, une par académie. Ces unités d’enseignement seront localisées au sein des écoles maternelles, afin de faciliter la prise en charge pluridisciplinaire, précoce et intensive, des élèves autistes.

Le projet personnalisé de scolarisation (PPS)

Le décret relatif au projet personnalisé de scolarisation, créé en 2005, est en cours de réécriture. Il précisera le rôle et les compétences de chacun des acteurs et instaurera une évaluation normalisée des besoins de l’élève. Il sera finalisé avant la fin de l’année 2014.

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//informations.handicap.fr/art-dispositif-scolarite-rentree-24-7142.php

Du nouveau pour l’emploi d’une personne à domicile

Dans le cadre du budget rectificatif de la sécurité sociale pour 2014, définitivement adopté par le Parlement, mercredi 23 juillet, les députés ont ajouté en dernière ligne droite un nouvel article qui double le montant de la déduction forfaitaire de cotisations sociales dont bénéficient les particuliers qui emploient une ou plusieurs personnes à leur domicile.

« Mais attention, contrairement à l’amendement initialement déposé lors de l’examen du texte au Sénat qui visait tous les employeurs, quel que soit le type de services auxquels ils ont recours, les députés ont ciblé cet avantage sur les services liés à la garde d’enfants, aux personnes âgées dépendantes et aux personnes handicapées », explique Sophie Borenstein, avocate associée chez Reed Smith.

Autant dire que la majeure partie des particuliers employeurs, notamment ceux qui emploient une femme de ménage, ne bénéficiera pas de cet allégement.

1,50 EURO PAR HEURE TRAVAILLÉE

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//www.lemonde.fr/argent/article/2014/07/25/services-a-la-personne-ce-qui-va-changer-au-1er-septembre_4462828_1657007.html

Caserne des pompiers

Fin d’année sympathique avec la classe : pour commencer, visite d’une caserne de pompiers. Essai du casque…

… et montée dans l’ambulance, malheureusement déjà connue de Camille à plusieurs reprises…
sans oublier la lance à incendie… du pur bonheur !!!

Campagne de dons 2014

 MERCI !!!

À toutes les familles de PMSF et amis qui ont participé aux 24 heures du don :

Nous voulions remercier chacun d’entre vous personnellement pour votre soutien.

Le succès est entièrement attribuable à vos dons généreux et votre soutien à PMSF, en engageant

vos réseaux de famille et amis via Facebook, Twitter et appels téléphoniques. Au fur et à mesure

des jours, nous allons avoir plus d’informations à communiquer.

Dans un premier temps, nous pouvons dire que :

Nous avons atteint la tête du classement avec 73,960.00 $­, avec une marge de $­ 960,00 pour battre

le concurrent situé en deuxième place, et les clics sur notre profil ont été de plus de 3100 pour les

24 Heures, nous mettant bien en avance sur le concurrent suivant.

Les partages de notre vidéo Youtube à partir de la page Facebook de Ginving Partner ont été de

64, bien devant d’autres partages pour les vidéos postées sur leur page.

 

La Fondation communautaire de Sarasota a informé tous les participants au défi que les gains des

19 premières minutes seront doublés. Nous avons calculé qu’ environ 14% de la totalité de nos dons

ont été effectués dans les 19 premières minutes du Défi, et nous espérons donc voir un bon nombre de

bonus assortis à ces dons faits dans ce laps de temps.

Bon travail !

 

Bien sûr, nous sommes impatients, comme vous, de connaître le résultat final.

Sachez que dès que nous aurons une bonne information fiable, nous vous l’enverrons.

 

Il y a encore du travail à faire par le personnel alors que nous terminons la partie de notre meilleure

campagne dans son ensemble, qui sera jugée par un jury de 3 personnes dans les prochains jours.

Dans le même temps, nous travaillons pour rattraper notre travail habituel et aussi obtenir un peu de

repos, et c’est pour cela que le bureau a été fermé le vendredi 9 mai.

Nous serons de retour ici lundi à 9 heures, bien reposés et impatients de poursuivre notre travail

pour la Conférence internationale 2014 en Juillet .

 

Avec tous nos remerciements,

Le personnel et conseil d’administration de PMSF

Campagne de dons 2014

 La Fondation du Syndrome Phelan-McDermid a besoin de votre aide

pour collecter des fonds pour la recherche !

 

Du 6 mai, 18 heures, au 7 mai, 18 heures, La Fondation du Syndrome Phelan-McDermid prendra de nouveau part aux 24 heures de dons, une campagne en ligne qui permettra de soutenir la recherche pour le Syndrome Phelan-McDermid, ainsi que les programmes de soutien familial.

La clé de la réussite pour cette année sera d’impliquer de nouveaux et plus importants réseaux de personnes et chaque aide est précieuse.

Nous espérons dépasser le montant que nous avons recueilli l’an dernier lors de la même campagne et qui s’élevait à $­ 90 000 en 36 heures.

Cette année, nous aurons seulement 24 heures.

Il est extrêmement important que chacun soit partie prenante de cet événement et permette d’accroître la participation afin que nous puissions continuer à financer les travaux de la Fondation.

Aucune organisation à but non lucratif n’a jamais gagné deux fois de suite la campagne de dons. PMSF l’a remportée l’année dernière et nous pourrions la gagner à nouveau cette année avec votre aide !

 Merci de suivre les étapes suivantes et de faire un don du

6 mai à partir de 18 h 00 (Heure française) jusqu’au 7 mai 18 h 00 :

 

  1. Cliquez sur ce lien : //www.givingpartnerchallenge.org

 

  1. Tapez dans la barre de recherche : Phelan McDermid

 

  1. Remplissez le formulaire de don


4
. Cliquez sur « Envoyer »
 

Chaque visite sur notre profil contribuera également à la collecte de fonds du

6 mai à partir de 18h00 (Heure Française) jusqu’au 7 mai 18 h 00 :

Voir notre profil en procédant comme suit :

 

  1. Cliquez sur ce lien : //thegivingpartner.guidestar.org/NonprofitProfile.aspx?OrgId=1126948

 

 MERCI, CHAQUE DON EST IMPORTANT !

Vacances à la montagne !

Visites d’églises et de cimetières, le dada de Camille (entre autres…)
Balade en raquettes

LE grand jeu : planter les bâtons et regarder ce que cela donne…

Balade en chiens de traîneaux

Traditionnelle bataille de boules de neige
et luge

C’est bien aussi comme ça….
Balade en tandem-ski pour avoir les sensations de glisse, de vitesse, et vue sur les sommets. Ya pas d’raison !

Diesel, la marque choisit une femme avec handicap comme mannequin

//informations.handicap.fr/art-infos-handicap-2013-853-6593.php

Diesel : la marque américaine choisit une égérie handicapée

Résumé : Pour sa nouvelle campagne, Diesel a choisi Jillian Mercado, une bloggeuse new yorkaise handicapée. Avec 23 figures atypiques, la marque tout jean décide de bouleverser les diktats de la beauté.

Par le

La marque de denim Diesel prend le parti de la différence avec cette nouvelle campagne de pub qui met en scène, entre autres, Jillian Mercado, une bloggeuse newyorkaise, rédactrice en chef du magazine We The Urban, atteinte de dystrophie musculaire. Sur l’affiche, elle apparait assise dans son fauteuil roulant, accompagnée du slogan « Nous sommes connectés ». « Je suis convaincue que travailler dans l’industrie de la mode m’a fait prendre confiance en moi car on n’avait jamais vu quelqu’un en fauteuil roulant dans ce milieu », explique la jeune femme dans une vidéo.

Elle est l’une des 23 mannequins « non conventionnels » choisis pour cette nouvelle campagne par Nicola Formichetti, nouveau directeur artistique, qui, en avril 2013, quittait la maison Mugler pour rejoindre les rangs du clan Diesel. C’est d’ailleurs cet amateur de figures hors du commun qui avait fait de l’athlète Oscar Pistorius, amputé des deux jambes, l’égérie du parfum A-Men de Mugler. Le jeune créateur s’est fait connaître pour ses audaces très éloignées des stéréotypes de la mode. Ses figures sont volontairement frondeuses, rebelles, à l’image du jean qui a construit la notoriété de cette marque de prêt-à-porter américaine.

Pour les uns, une façon de dépasser les diktats et de considérer que la différence, et en particulier le handicap, peut être source de beauté. Pour les autres, un coup de pub magistral ! Peu importe, cette campagne a le mérite de rendre le handicap visible. Et pourquoi pas rentable ? Même si d’autres s’y sont déjà essayés (citons Symio, Kris, L’Oréal, Benetton…), le fait est assez rare pour être signalé.

Emission M6 bis

Tollé après les révélations télévisuelles sur les maltraitances

Le reportage qu’a proposé M6 le 19 janvier sur la détresse des familles d’enfant handicapé sans possibilité d’accueil et sur les situations de maltraitance dans certains établissements a provoqué une vive émotion parmi le grand public. Sur les réseaux sociaux, celui-ci met en cause, parfois sévèrement, l’ensemble des acteurs de cette politique, y compris les professionnels.

Emission M6 – dimanche 19 janvier 20h50

Enfants handicapés : révélations sur les centres qui les maltraitent

Dimanche 19 à 20:50

Chaque année, près de 8 000 enfants naissent avec un handicap mental en France. Autistes ou atteints d’une maladie génétique, certains ne pourront jamais être totalement autonomes. Face à la pénurie d’établissements spécialisés, les parents doivent parfois s’en occuper seul. Ceux qui parviennent à les placer ignorent le fonctionnement et les méthodes de prise en charge parfois scandaleuses de certains centres. Les journalistes ont enquêté dans plusieurs instituts privés, où des jeunes patients ont été ou sont victimes de maltraitances psychologiques et physiques

Spectacle de musique

Pour fêter les vacances, spectacle de l’atelier musical auquel participe Camille toutes les semaines.
Un grand moment de bonheur pour eux… et leur famille bien entendu !

.

Et pour fini, le groupe Choro de Aksak, qui propose un mélange de musique brésilienne et de folklore balkanique… Rythmé et dynamique !

A lire

Être Handicap Information janvier/février 2014 n° 128-129
Spécial Maintien et Evolution dans l’emploi

Quatre articles que j’ai signés sur :
– le métier d’ergonome
– le diagnostic de maintien dans l’emploi fait par l’ergonome
– l’évolution de carrière des personnes handicapées (5 pages)
– le réseau PHARE (Personnes handicapées et Responsabilités de l’entreprise)

Dans les kiosques ! (ou sur commande).

LOL

Mardi, c’est CDI (Centre de Documentation et d’Information).
Camille ramène un énorme livre sur les champignons, et je le parcoure avec elle.
« On appelle gymnocarpes les basidiomycètes qui, comme nous l’évoquions précédemment, présentent un carpophore dépourvu de tégument protecteur ».

Euh… lol ?

calendriers PMSF

Les calendriers PMSF 2014 sont disponibles !

Le coût de chaque calendrier est $­­­ 20.00 USD et l’expédition est d’environ 23,95 $­­­ pour un maximum de cinq calendriers avec le transport international.
Ils peuvent être commandés via le site PMSF (//22q13.org) en cliquant sur le bouton « Donate Now » ce qui vous mènera à la Paypal, où vous pouvez payer par carte de crédit.
En mettant le nombre de calendriers que vous voulez sur la ligne « mémo » ils seront envoyés tout de suite.

Education : de plus en plus d’inégalités

//fr.news.yahoo.com/la-france-parmi-les-mauvais-%C3%A9l%C3%A8ves-l-39-100933983–business.html

La France passe de la 22e à la 25e place du classement PISA (Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves).
Les élèves doués réussissent sans aide particulière, les moins doués sont laissés au bord de la route sans aide particulière non plus, quant aux éléves handicapés, je n’en parle même pas….
Pourtant, toujours autant de suffisance imbécile et archaïque avec l’assurance que sans eux, les autres ne sont rien.
L’avenir est radieux…

//www.francetvinfo.fr/societe/education/le-classement-pisa-nous-interroge-sur-les-inegalites-scolaires_473332.html

Tellement honte…

L’Etat fait appel de la décision qui l’obligeait à trouver un lieu d’accueil pour une personne handicapée…

//www.liberation.fr/societe/2013/10/23/handicapee-condamne-l-etat-lui-propose-une-place-en-centre-et-fait-appel_941872

 » Pour l’Unapei, cette place «est un effet d’annonce» car «c’est une proposition de rendez-vous pour envisager la possibilité éventuelle d’une place» avec ensuite «un mois d’essai».

«La réalité, c’est qu’Amélie vit toujours chez ses parents sans solution d’hébergement, ni accompagnement: aucune aide n’a été apportée depuis le jugement, la famille s’enfonce progressivement dans une mort sociale», affirme la fédération dans un communiqué.

Elle appelle à manifester lundi matin devant le Conseil d’Etat pour protester contre «le mépris inacceptable des personnes handicapées et de leurs familles» dont fait preuve, selon elle, le gouvernement. »

Rebelote

Mercredi 16 octobre : deuxième luxation du genou en dix jours pour Camille (et cinquième en sept mois)….

Vivement l’opération fixée au 25 octobre prochain qui permettra, on espère, l’arrêt de tous ces problèmes et douleurs.

Dans les temps/l’étang

Dimanche soir.
Nous revenons de la mer. Journée passée à La Rochelle sous le soleil…
Retour tardif à la maison… douche… préparation du sac, des habits…
A table, je dis à Camille « Finalement, on s’est dépêchés, tu vas pouvoir te coucher dans les temps ».
Camille me regarde aussitôt en lançant « non, lit ! ».
Mais oui, ma chérie, ce n’est pas encore au programme de te faire dormir… dans l’étang…

L’ergothérapie, une profession à la mode vecteur d’autonomie

//informations.handicap.fr/art-handicap-handicapes-ergotherapie-853-6331.php

Ergothérapie : une profession à la mode, vecteur d’autonomie

Résumé : L’ergothérapie est à la mode, côté postulants, côté patients. Une approche qui encourage l’autonomie et le  » laisser vivre  » au domicile. Un futur prometteur qui séduit de plus en plus de Français.

Par le
Réagissez à cet article !

Ergothérapie vient du grec « ergon » qui signifie « activité ». Elle se définit par l’éducation, la rééducation, la réadaptation ou encore la réhabilitation. C’est par le biais de mises en situation de la vie quotidienne (soins personnels, travail et loisirs) et d’exercices spécifiques que l’ergothérapeute organise une thérapie visant à améliorer les capacités d’agir et les compétences, individuellement ou en groupe. Plus souvent appelé « ergo », c’est un professionnel de la santé (et non pas du médico-social). A ce titre, tout comme le kiné, c’est un auxiliaire médical soumis au code de santé publique et au code de déontologie des médecins. Son expertise est validée par trois années d’études dans des écoles spécialisées et agréées. C’est une profession extrêmement encadrée et un titre parfaitement protégé.

Une longue histoire

L’ergothérapie est née début du XX° siècle en Amérique du Nord, sous l’influence de médecins psychiatres. L’influence des guerres mondiales, couplée à un programme de développement de l’OMS (Organisation mondiale de la santé), favorise l’émergence de cette profession en France dans les années 50. Mais il faut attendre vingt années de plus pour que l’on commence à considérer le contexte environnemental et social de la personne comme facteur de santé. Les médecins ne suffisent pas toujours à faire face à l’afflux de demandes en soins et préfèrent alors déléguer certaines tâches. L’ergothérapie prend, enfin, toute sa dimension…

Du nourrisson à la fin de vie

Etre ergothérapeute, ça signifie s’occuper de qui ? De tout le monde, du nouveau-né à la personne en fin de vie. Il intervient dès qu’un trouble dans la réalisation des activités apparait. Environ 15 % des interventions concernent les enfants et 25 % les personnes âgées. Le reste prend en charge des adultes, pour certains atteints de handicaps lourds mais aussi de troubles plus légers. Le métier reste le même qu’il soit pratiqué à domicile ou en établissement. Seul le terme pour définir le « client » change ! Il est tour à tour client en libéral, patient à l’hôpital, résident en maison de retraite ou usager en centre de rééducation.

Seulement 7 % en libéral

Seulement 7 % des ergothérapeutes exercent en libéral. Les 93 % restants sont salariés de centres de rééducation, d’hôpitaux ou d’associations. Ils sont néanmoins souvent amenés à intervenir au domicile des patients comme dans le cas des MDPH (Maison départementale des personnes handicapées), des unités Alzheimer ou, pour les enfants, des Sessad (services de soins à domicile). La vocation première de l’ergothérapie est en effet de permettre à chacun de rester chez soi ou d’y retourner le plus rapidement possible après avoir fait une expertise de son lieu de vie.

Une pratique en pleine expansion

Aujourd’hui, la profession connaît un essor important lié, entre autres, au vieillissement de la population, à l’augmentation de l’espérance de vie, à l’émergence de nouvelles pathologies (troubles de l’apprentissage, autisme, maladie d’Alzheimer, maladie rares…) et au développement des technologies médicales. Selon le fichier de l’Adéli, dans lequel s’enregistrent tous les professionnels de santé, on dénombre, au 1er janvier 2013, 8 640 (chiffres 2012) ergothérapeutes sur le sol français, soit une densité de 14 pour 100 000 habitants. Une proportion qui a, certes, doublé depuis une dizaine d’années mais qui ne suffit plus à répondre à la demande. Les centres de formation ne désemplissent pas. Il n’y a, heureusement, pas de numerus clausus, comme pour les médecins, pour limiter le nombre de postulants. Ce sont les Conseils régionaux qui donnent leur agrément et établissent leur propre quota en fonction de leurs besoins. Or certaines régions doivent faire face à une véritable pénurie.

Une profession à la mode

« Globalement, explique Eric Trouvé (lire édito en lien), président de l’ANFE (Association nationale française des ergothérapeutes), la tendance, depuis quatre ans, c’est une véritable explosion du nombre de places en formation. Pour vous donner une idée, en France, la première école a ouvert en 1954. En 2009, on comptait neuf instituts de formation. Et, aujourd’hui, nous en sommes à dix-neuf. » Il est lui-même directeur d’un centre à Tours qui a ouvert ses portes en 2012. Comment expliquer ce succès ? « Je crois que les autres professions de santé ont enfin pris conscience de notre potentiel. Les plans de santé publique ont confirmé cette nécessité et conforté le recrutement. » L’ergothérapeute serait-il en train de devenir le spécialiste qu’on s’arrache, comme ce fut le cas il y a quelque temps avec le psy, ou plus récemment avec l’ostéopathie ?

Une signature pour être solidaire et faire bouger les choses

C’est la rentrée pour tous les élèves français.

Tous ? Non…

Ceux qui ont présentent certains handicaps comme celui résultant de l’autisme ou le polyhandicap trouvent les portes de l’école fermées, tandis que d’autres se voient proposer une scolarité très partielle. Pourtant, d’après le gouvernement, la scolarisation en milieu ordinaire permet d’obtenir les meilleurs résultats éducatifs pour de nombreux élèves en situation de handicap tout en offrant une plus grande ouverture à la différence aux autres élèves.

Ces enfants doivent réellement avoir la possibilité d’apprendre des autres, pour favoriser plus tard leur inclusion dans la société.

Nous demandons que le gouvernement mette en œuvre ce à quoi il s’est engagé : « Faire que tous les enfants vivent en commun. Cesser l’école de l’exclusion. Cesser l’école de la ségrégation. Cesser l’école du mépris. L’école du respect, l’école de tous ! ».

//www.change.org/fr/p%C3%A9titions/%C3%A0-m-le-premier-ministre-l-inclusion-scolaire-c-est-maintenant

C’est reparti !

Les vacances, c’est fini !

Après dix jours en centre de vacances qui se sont super bien passés, avec au programme nuits sous la yourte et en tente, balades en chien de traîneaux, construction de cabanes, accrobranche…etc… Camille a repris le chemin de l’Ulis ce matin.

Toujours avec le sourire…

Vacances !

Après une semaine à Belle-Ile en famille au mois de juillet, Camille s’apprête à partir en centre de vacances pour dix jours dans le sud du département pour un séjour « cabanes et chiens de traîneaux » avec hébergement en yourte.
On croise les doigts… c’est son premier séjour de ce type (pour la durée, les activités, et le type : en intégration, c’est à dire enfants avec handicap au sein d’un groupe d’enfants dits « ordinaires » (…)) et les nuits hors maison restent de façon générale toujours très (très très) problématiques…